« C’est une femme extraordinaire » selon les propres mots de son directeur Henri-Aurélien Chopinaud. Et en effet, le travail d’Anne Commont consiste à souder des fils plus fins qu’un cheveu (10 microns) sur des capteurs destinés aux respirateurs artificiels. Elle a ainsi participé à la fabrication de 120 000 pièces et a formé d’autres collaborateurs. Et si son trajet quotidien dure trois heures, elle a travaillé sans compter pendant la crise et s’est portée volontaire pour venir travailler pendant toute la durée du confinement, période où les respirateurs étaient l’objet de fortes tensions. « Je suis fière de mon travail » a déclaré Anne Commont lors de la remise de ce prix. Une fierté grandement partagée au sein de VYV3. Bravo Madame Commont ! Revivez ce prix en vidéo, diffusé sur BFM Business (à 1’52’’30)